« Les petits signes extérieurs du bonheur », mon dernier roman, sans surprise, parle de… bonheur !
Du bonheur tel qu’on le considère souvent dans notre société occidentale, axé sur des considérations matérielles, sur l’image que l’on renvoie. Une société des apparences, des faux-semblants, de l’oubli de qui on est vraiment.
Attention, je ne dis pas que l’argent n’est pas important. Le manque d’argent, c’est le début des galères, la boule au ventre chaque jour, des privations insupportables, des disputes, une omniprésence du problème puisqu’il conditionne le lendemain, le danger d’accroître sa précarité, voire pire encore. Le manque d’argent pourrit beaucoup de choses. Mais trop d’argent aussi.
L’argent ne règle pas tout, et surtout pas la question du bonheur.
C’est un peu le sujet de mon livre. Revoir notre définition du bonheur : et si tout n’était finalement que question de point de vue ?
« Les petits signes extérieurs du bonheur » aborde ces choses là, avec les excès et les absurdités de notre société de consommation, et l’idée qu’on n’est pas plus heureux avec plus quand on a déjà assez.
De là découle une pensée que certains trouveront peut-être un peu simpliste : Et s’il suffisait de verser le contenu de notre (grand) verre à moitié vide dans un autre verre plus petit ? Et si ce petit verre cette fois bien rempli nous permettait de nous contenter de moins, d’être plus heureux au final et au passage de provoquer moins de dommages à notre planète dont on oublie presque toujours les limites ?
J’ai donc choisi Team For The Planet, entreprise à mission qui réunit des fonds pour accompagner dans leur développement des entrepreneurs engagés et innovants pour lutter contre le dérèglement climatique. Je les ai choisis pour leur vision objective, factuelle et leur approche sans jugement et innovante. Ma rencontre la semaine passée avec Arthur Auboeuf, cofondateur de l'organisation, à l'occasion d'un événement à Paris, ainsi que mes échanges avec des membres du comité scientifique, des évaluateurs et aussi des entrepreneurs, a fini de me convaincre du bien-fondé de ce choix.
Les discussions sont ouvertes pour tous ceux qui souhaitent échanger sur ces sujets !
Ci-dessous, deux extraits de mon roman qui illustrent cette pensée...
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